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Rassemblement
pour philippine

Le 29 septembre dernier, le Collectif Némésis s'est réuni à Paris avec 1 500 personnes pour rendre hommage à la jeune Philippine, 19 ans, violée et tuée par un Marocain sous OQTF.​

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Philippine n’aurait jamais dû perdre la vie le 20 septembre dernier, car son violeur et meurtrier, Taha Oualidat, un Marocain de 22 ans, déjà condamné pour le viol d’une jeune femme plusieurs années auparavant, n’avait rien à faire sur notre sol.

Que faisait cet homme en liberté dans notre pays ? Comment la justice a-t-elle pu lui laisser la possibilité de croiser la route de Philippine ?

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Alice Cordier, notre porte-parole, ainsi que des victimes et des proches de victimes, sont intervenus.

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Claire Géronimi, violée par un Centrafricain sous OQTF multirécidiviste dans son hall d’immeuble, était là pour témoigner de son agression d'une barbarie sans nom.

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Marius, le petit-fils de Berthe, 91 ans, rouée de coups et assassinée par un Pakistanais de 25 ans entré chez elle pour la cambrioler, s’est livré avec émotion sur la vie volée de sa grand-mère, tuée par un homme qui n’aurait jamais dû être sur notre sol.

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Catherine, elle, a perdu tragiquement sa fille Marion, tuée par un Algérien et retrouvée enterrée dans le jardin de sa résidence.

Christine a perdu sa belle-sœur, torturée et égorgée par un mineur étranger, laissant derrière elle quatre orphelins.

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Le collectif Némésis a décidé de rendre hommage à Philippine, mais aussi à toutes ces victimes, qui auraient dû avoir la vie sauve si l’État avait exercé sa fonction principale : assurer la sécurité de ses citoyens.

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Ces affaires, ces victimes, ne correspondent pas à l’agenda politique des féministes d’extrême gauche, qui n’en parlent jamais.

Elles font partie des nombreuses victimes de l’immigration incontrôlée, du laxisme judiciaire et de la lâcheté de l'État français.

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Philippine aurait pu être notre sœur. N’oublions jamais Philippine.

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