Mais qui est cet ennemi des femmes dont personne ne parle ?
Vous sortez de chez vous le matin, vous esquivez le regard des racailles vindicatives qui traînent près de la gare, puis vous montez dans le métro. Dans le wagon, un marginal hurle des insanités dans une langue étrangère. Parfois, il interpelle les passants, regarde avec insistance une jeune fille qui doit quitter la rame apeurée.
Vous mettez vos écouteurs pour vous couper de cette ambiance insupportable que chacun de nous connaît désormais en France et vous ouvrez votre téléphone. Soudainement une vidéo Brut se lance : « C'est quoi le manspreading ? ». Dans votre fil Instagram : une féministe intersectionnelle commence à vous décrire le profil typique de l’agresseur de femme : Nicolas, 28 ans, blanc. Bref, c'est vous.
Arte, Mediapart, le service public et les médias vous noient d’images culpabilisantes : l’unique ennemi de la femme, c’est l’homme blanc. Tout le monde le sait… Non ? Mais combien de fois Brut ont-ils donné la parole à l’une des femmes agressée sexuellement dans les transports par un étranger ? Zéro.
Pourtant 63% des agressions sexuelles dans les transports d’IDF en 2019 étaient commises par ces derniers.
Jamais aucun de ces témoignages n’apparaîtra dans les médias de gauches, sur Madmoizelle ou sur NousToutes, mais ces expériences, ces traumatismes sont bien réels. Ces victimes-là ont-elle le droit à la parole ? Qui porte la voix de ces femmes ?
La libération de la parole est-elle vraiment faite lorsque les néoféministes tentent de bâillonner les femmes qui racontent leur vécu au sein d'une société multiculturelle ?
Nos moyens étaient jusqu’ici limités, mais nous avons accompli beaucoup… Imaginez ce que nous pourrions faire avec votre aide !
3 raisons de nous aider :
raison 1
Nous aider financièrement, c'est nous aider à libérer la parole, en nommant les agresseurs. Comme avec le témoignage de Claire, violée par un migrant centrafricain sous OQTF dans le hall de son immeuble en décembre 2023.
raison 2
Nous aider financièrement, c'est permettre à ces témoignages d'exister et donc d'être vus, partagés et d'atteindre le grand public. Comme avec celui d'Alice, agressée à Nantes, qui cumule plus de 5 MILLIONS DE VUES.
raison 3
Nous aider financièrement, c'est participer à donner à ces affaires une envergure nationale, voire internationale. Les porter jusqu'aux plateaux télé, aux radios et dans la presse. Comme avec cette parodie du magazine Dazed qui a fait le tour de l'Europe.
Nos NOUVELLES porte-paroles
Notre influence aujourd'hui
Plus de 30 passages médias sur les 3 derniers mois, un record !
Une reconnaissance dans la presse nationale
« Les cinq audacieuses ont tenu un quart d’heure : pour avoir brandi des panneaux dénonçant l’agression de femmes par des immigrés, elles ont été éjectées de la marche contre les violences sexistes et sexuelles, samedi à Paris. Telle est l’absurdité de l’idéologie antiraciste : elle force à regarder ailleurs dès que des minorités protégées sont mises en cause. »
« Elles se disent "féministes" et "identitaires". Depuis un an et demi, les jeunes femmes du collectif Némésis copient les codes du militantisme féministe pour faire passer une virulente rhétorique anti-migrants. Qui, elle, n'a rien de nouveau. »
« Némésis remplit un espace de plus en plus vacant : celui d'un féminisme universaliste de gauche qui lutte contre les intégrismes religieux. »
« Némésis: quand le féminisme se fait "identitaire". »
« Ce collectif au nom inspiré par la déesse vengeresse antique fait, depuis un an, presque autant de bruit médiatique en France que les Femen à leurs débuts. »
Des actions mémorables, reprises dans la presse et les médias !
No Hijab Day 2022 - Trocadéro
No Hijab Day 2023 - Sacré-Cœur de Montmartre
Reportage à Lampedusa, 2023